SAINT JEAN. Bien que la prochaine soit la 37e édition, ce ne sera que la troisième catégorie internationale. En 2017, Nibali, Boonen, Gaviria, Rui Costa et Bauke Mollema, finalement vainqueurs, ont été les stars; de nouveau Nibali, Gaviria et Majka étaient en 2018; pour 2019 la liste des stars s’allonge avec la présence, outre Gaviria, d’un membre fixe en Argentine, de Peter Sagan, de Nairo Quintana, de Mark Cavendish, de Julian Alaphilippe, de Tiesj Benoot et de Tim Wellens.

Il y aura des champions du monde, des vainqueurs de grands tours en étapes, des classiques, des sprinters … mais à leur niveau, l’attention est attirée par le très jeune Remco Evenepoel, champion européen et mondial de trial et contre la montre et qui, après avoir fait le saut directement de juvéniles, fera ses débuts à San Juan, où il aura également 19 ans.

Les 27 équipes participantes

Il y aura un total de 27 équipes – comme en 2018 – qui participeront au 37ème Tour de San Juan. Parmi ceux-ci, six feront partie du circuit mondial: Bora-Hansgrohe (Allemagne), Dimension Data (Afrique du Sud), Deceuninck-Quick Step (Belgique), Emirats Arabes Unis (Emirats Arabes Unis), Movistar (Espagne) et Lotto-Soudal (Belgique).

Androni Giocatolli (Italie), Nippo Fantini (Italie), Wilier Triestina (Italie), Israel Cycling Academy (Israël) et Caja Rural (Espagne) seront les cinq équipes de la catégorie Continentale Professionnelle, tandis que Petroli Firenze-Hopplà (Italie), Medellín (Colombie), Biesse Carrera Gavardo (Italie), Start Team Gusto (Bolivie) et Sporting Tavira (Portugal), en plus des locaux Virgen de Fátima, Pocito, Mardam et Rawson constitueront les neuf catégories Continentales.

Comme les autres années, la participation est complétée par une large représentation du cyclisme sud-américain, avec la présence des équipes nationales de l’Uruguay, du Pérou, du Mexique, du Chili, du Brésil et de Cuba, ainsi que de l’Argentine.

Tous feront avec certains de ses meilleurs cyclistes et, en plus des stars susmentionnées, devront parler et prendre en compte Óscar Sevilla (Medellín), l’école locale Ricardo (Fatima), Giovanni Visconti (Wilier) et, parmi bien d’autres, Max Richeze (Deceunik-Quick Step), qui peut se vanter d’avoir autant de victoires internationales à San Juan que Fernando Gaviria lui-même: deux étapes en 2017 et une en 2018, en plus des deux victoires qu’il a remportées, l’une en 2005 et l’autre en 2007 quand le test n’avait pas encore traversé les frontières.

Les clés de la course seront le contre la montre Pocito, plus de 12 km, dans la troisième étape, et surtout lors de l’arrivée à Alto Colorado (cinquième étape et après une journée de repos), un port pas très dur, mais 14, 4 km de long et dont le sommet est à 2.565 m d’altitude. Les hommes rapides auront leur spectacle le reste de la journée.

Comme l’année dernière, la Vuelta a San Juan peut être suivie en direct à la télévision. Mais en 2019, de nombreux autres pays auront un signal grâce aux accords passés avec ESPN (Amérique latine), Eurosport (Europe et Asie), Fox Sports (Afrique), Sky (Nouvelle-Zélande), Flobikes (États-Unis) et DAZN (Canada). et le Japon). (Zkloland.com)